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L’anti-blogging numéro 2 : l’irrespect dans la communication

Bonjour à tous,

Ce matin à 8h est partie chez tous ceux qui en ont fait la demande, la seconde newsletter d’Yves Bonis Conseil.

Le thème en était cette fois :

L’irrespect dans la communication

A la fois dans ses manifestations les plus brutales et les plus « ordinaires ». Leur point commun, leur effet désastreux sur l’image de la personne qui les emplois et sur l’entreprise représentée.

Et comme la dernière fois, je vous propose un « anti-article de blog » où la valeur ajoutée n’est pas dans le corps de l’article, mais dans les commentaires écrits par la communauté.

Comment ça marche ?

Ceux qui ont lu la newsletter peuvent s’appuyer sur elle et ceux qui ne l’ont pas lue pourront apporter leur regard à cette discussion autour de l’importance du respect et des dégâts de son absence… tout en regrettant au plus profond de leur cœur d’avoir encore une fois laissé passer cette occasion unique et en se jurant de ne pas rater la prochaine dans deux semaines.

Je vous rappelle qu’en fin d’article, vous trouverez le formulaire pour vous abonner si vous le souhaitez, y compris sur support mobile. Merci à tous de votre participation et…

C’est parti pour l’anti-blogging !

A vous la parole, parce que comme toujours, sans vous cet article ne sera qu’un abominable bide… et accessoirement parce que c’est le moment de partager votre opinion et de faire connaissance.

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  1. slt, je suis pas du tout d’accord. Le client, il est fait pour raquer. Le partenaire, il est fait pour m’amener des clients sur un plateau. Le fournisseur, il est fait pour bosser bien, vite et pas cher. Le sous-traitant, il est fait pour se faire engueuler et prendre les responsabilités à ma place. Le collaborateur, il est fait pour faire le taf à ma place, se faire engueuler et me dire que je suis génial, le tout vite, bien et pour pas cher. Le stagiaire, il est fait pour bosser gratos. Clt M.
    PS pour les lecteurs non avertis, non je ne suis pas une (pé)trollette :-)

  2. Bonjour Yves,

    et merci pour cette newsletter. Sujet très intéressant !
    Oui, la facilité des échanges aujourd’hui, le manque de temps (ou je dirai plutôt le fait de ne plus prendre le temps) pour ne serait-ce que répondre poliment à un mail est de plus en plus présent.
    J’ai eu la mauvaise expérience de me retrouver face à ce type de mail, avec la signature rapide « cdt » , ou des mots « jetés » afin de répondre plus vite, et de ne pas savoir comment tourner mes propres phrases pour répondre … C’est déstabilisant.

    Prenons le temps de faire de jolies phrases, un petit clin d’œil pour conserver le lien avec notre interlocuteur … C’est tellement plus agréable, ça ne coûte rien et apporte beaucoup :)

    Je vous souhaite une belle journée !
    Magaly

    1. Bonjour et merci de venir participer :)

      A mon tour d’apporter une expérience :

      Une démarche que je trouve affreuse : Les répondeurs automatiques sur les réseaux sociaux.

      Vous savez, vous décidez de suivre quelqu’un sur Twitter et vous recevez dans les 20 secondes un message standard vous disant « Hey, pour te remercier de me suivre, viens me filer ton mail en échange d’un p’tit ebook pour devenir milliardaire sans bouger de chez toi ».

      1 heure après, c’est « Hey, tu ais que je fais des formations pour monter dans l’avion de chasse de la réussite ? Viens vite ! ».

      1 jour après « Hey, je viens d’écrire un article qui va te plaire sur « comment être irrésistible pour moins de 10 euros par an ! » File mon ton e-mail !

      Je trouve ça terrible, non pas uniquement parce qu’on essaie de vous soutirer de l’info par tous les moyens, mais aussi et surtout parce qu’on automatise le remerciement !

      Pour moi, c’est « peu importe qui tu es, ce que tu fais ou ce qui t’amène à me suivre, je veux ton mail et ton fric »…

      Voilà de la communication (sisi c’en est !) comme je l’exècre. Il y a tellement mieux à faire !

      1. Bonjour,

        merci pour ce plus que pertinent sujet !

        Et comme toi, allergique aux messages automatiques, à ce marketing agressif et vide de sens. Il prolifère sur la toile, telle une maladie. Le premier, l’inventeur, pouvait passer pour quelqu’un de futé, depuis, lassitude puissance 10.000…
        Je me demande d’ailleurs s’ils font vraiment recettes.

        Je préfère prendre le temps, alors merci d’avoir pris du temps pour nous :-)

        1. Excellente question que celle de la réussite des irrespectueux professionnels :)

          Pour avoir suivi quelques innovations du domaine, je dirai que ceux qui font recette sont ceux qui s’approprient la paternité du concept.

          En formation, je les appels les garagistes ou les gourous du web :) Ce sont eux qui automatisent au maximum la relation pour développer un chiffre si possible exponentiel en proposant des contenus sur étagères en ligne (formations par mails, modules de e-learning, livres blancs etc.).

          Leur réussite tiens en deux choses me semble-t-il :

          – Le fait qu’ils fonctionnent en réseau très soudé. L’un faisant la pub des produits de l’autre auprès des ses tonnes de visiteurs via des mailings quotidiens et agressifs.

          – Leur méthode de communication basée sur les frustrations « très mâles » de leurs prospects. Fierté froissée, manque de reconnaissance, faibles revenus, peur de l’avenir, stimulation d’un sentiment « d’injustice » etc.

          Dès lors, ils pilonnent sur ces cordes sensibles pour vendre des recettes magiques par abonnement.

          Donc certains sont rentables, les ténors de la méthode. Mais la question que je pose depuis 3 ans, c’est : Combien de temps le modèle fonctionnera-t-il ? Et surtout, résistera-t-il aux entreprises de valeurs qui déboulent sous l’impulsions de quelques uns dont je m’honore de faire partie ?!

          Les réponses sont dans les questions évidemment ;)

  3. Bonjour Yves,

    entre abréviations et écriture phonétique (si, si on en trouve aussi dans des mails professionnels), le français a du soucis à se faire mais c’est peut être l’occasion pour les écrivains publics de faire un retour en force sur le « bien parler » et « bien écrire ». Et les très « irrespectueux » du web et d’ailleurs n’ont qu’à bien se tenir.

    Bonne fin de journée

    1. Soulignons tout de même quelque chose de très positif pour le français : les gens n’ont jamais autant écrit ! Ce qui fait qu’ils écrivaient peut-être très mal avant, mais on ne le savait pas ^^

  4. Aaaaah ! Un sujet qui me plait tout en me frustrant beaucoup.

    J’ai quelques fois l’impression que les consommateurs et clients veulent le beurre, l’argent du beurre mais surtout la crémière. Lorsque je poste une nouvelle vidéo de jeu, les messages qui suivent sont souvent du type « A quand la suite ? », « Vas/Peux-tu filmer tel jeu ? », « J’aurai préféré une autre vidéo ». Ce que je trouve dommage, c’est que ce genre de message est majoritaire face aux « merci » et autres commentaires liés à la vidéo qui vient d’être postée (je tiens à rappeler qu’elles sont accessibles gratuitement). Certes, ces messages font plaisir, ils sont en quelques sortes la preuve que les gens apprécient le boulot et en veulent plus mais c’est en même temps stressant, comme si pour eux, le moment présent ne compte plus.

    Dans certains messages postés, j’ai des « rpd tt de ste » quelques fois accompagnés d’un « stp ». Certains d’entres eux sont même postés après minuit et c’est quelques fois pareil du coté des « clients ». Je ne parle même pas des formules de politesse qui doivent être là dans seulement 5% des messages que je reçois.

    Dans les tarifs indicatifs des indépendants, une plaquette d’entreprise doit être facturée 4500€. Quand j’explique que je le fais à 1600€ et pourquoi, on me raccroche presque au nez en me disant que c’est trop cher et que les tarifs du milieu sont clairement sur évalués. J’ai dernièrement fait une affiche facturée 40€ parce que « faut bien faire entrer des sous » et encore, je l’ai fait parce que c’est une connaissance mais bon, le résultat est le même. Pour les gens, je suis payé trop cher pour ce que je fais.

    Si je dis tout cela, ce n’est pas pour me plaindre, j’adore ce que je fais et ce type de désagrément ne m’ennuie pas plus que ça. J’ai le plus beau métier du monde et comme toujours, il a ses contraintes :)

    Le fait est que si je donne tous ces exemples, c’est pour imager le fait que l’irrespect est aujourd’hui un comportement « normal » pour la plupart des gens. Tous les métiers peuvent se résumer en une phrase mais cela ne les rend pas plus simple pour autant. Il me semble important de rétablir l’estime donnée aux métiers de chacun. Comprendre que derrière chaque activité, il y a du « travail » (décidément, je n’aime pas ce terme xD). Bref, être plus « humain », vivre les uns avec les autres et non les uns contre les autres. On a tous nos limites, pourquoi chercher à les atteindre et marcher sur la corde raide alors qu’on peut faire les choses aussi bien dans de meilleures conditions ?

    Peut être que l’école devrait nous apprendre à « vivre » avant de nous apprendre à « travailler ».
    Merci pour cette belle newsletter chef !

    1. Tu as raison Iti, tu es aux premières loges pour les relations « abrégées », les exigences insensées et les comportements carrément inciviles.

      C’est encore plus délicat lorsque l’on invente chaque jour son métier dans un secteur que d’autres considèrent comme un hobby (que ce soit les vidéos ou le dessin) !

  5. Quelle chouette discussion!

    Je suis aussi très gênée par les mails écrits à la va vite qui me donnent la désagréable impression d’être transparente.

    J’ai remarqué 2 cas de figure jusqu’à présent dans les mails : soit la personne ne prend pas le temps tellement elle a hâte d’écrire, et il suffit de le faire remarquer pour que les mails gagnent en humanité :-)

    Soi la personne n’est effectivement pas tellement dans le respect, et ça permet assez efficacement de déterminer avec qui on a envie de travailler (ou non :-)

    Concernant l’automatisation, je crois que comme beaucoup d’outils, ça dépend complètement de ce qu’on fait avec.

    J’ai moi aussi été choquée de recevoir de tels messages sur twitter. C’est du spam! j’automatise une bonne partie de mes propres publications : avec 2 jeunes enfants, je ne peux pas être devant mon ordinateur à l’heure de publier. Donc je programme ce que je peux, quand la tribu est couchée! ça permet aussi du coup, dans les moments libres, d’être pleinement dans la conversation sur les réseaux sociaux.

    Comme écrit Annie, le marketing vide de sens me lasse. C’est une calamité! Et pourtant, il n’est pas que sur Internet. Regarder la télé me donne des boutons. J’envisage de vivre à l’écart du monde quand je vois les pubs qu’on nous inflige : arg!

    Mais les entreprises de valeurs impliquent justement une remise en question globale, y compris de ses choix, de son mode de vie parfois. Ce n’est pas le chemin le plus facile…d’où le succès des « recettes magiques » : tout plutôt que de réfléchir. Car de là découle la création, et que c’est un processus incertain, et très anxiogène.

    Voilà pour la minute psy, hi hi

    Merci d’avoir soulevé le sujet!

    1. Je suis tout à fait ‘accord avec toi Selma,

      J’ai coutume de dire qu’on base une stratégie sur des choix de vie.

      Moi aussi j’automatise deux choses : L’envoie de ma newsletter et la publication de l’anti-blogging qui se font à l’heure où je m’occupe de ma fille avant qu’elle n’aille à l’école.

      Mais ce que je n’automatise pas, ce sont les relations en one to one. Pas de commentaires automatiques, pas de partage automatique sur les réseaux, pour me laisser l’occasion de personnaliser les annonces…

      Cela interroge le rapport au temps de chacun.

      L’ergonomie des réseaux sociaux/clients de messageire est telle qu’on se sent obligé de répondre dans un temps très court. C’est là que naît l’irrespect dans les relations humaines sur le web.

      Si je veux concilier ma vie privée et mes activités professionnelles, je dois interroger mon rapport au temps. Suis-je obligé de donner une réponse dans la minute à celui ou celle qui me suit sur Twitter ? Donc le répondeur est-il nécessaire ? Ne puis-je pas répondre plus tard ? Est-ce bloquant pour mon activité ?

      Le plus souvent…. non !

      1. Bonjour Yves! Comme tu vois, je ne réponds pas à la minute :-D
        Comme tu dis, les relations 1-0-1, on ne peut pas les automatiser. Et tant mieux!
        Et puis je te suis complètement dans le rapport au temps : je résiste autant que possible à la réponse dans l’urgence et à la frénésie twitter/fb (ça y est, j’ai un smartphone, mais je l’oublie régulièrement chez moi :-).
        Je programme (ce qui est différent de l’automatisation) une partie de mes publications sur ces réseaux, pour 2 raisons : 1. les horaires des enfants (école, repas etc) et 2.pour me fixer un cadre temporal restreint de connexion justement. Je ne me connecte qu’après une certaine heure du coup, et pas après une certaine heure non plus pour utiliser les réseaux dans ce qu’ils ont de merveilleux : la conversation, justement! Tu en as d’ailleurs parlé récemment avec l’idée de cape de pluie qu’a eue Juliette après un échange sur FB. Je trouve ça formidable de pouvoir échanger directement avec des personnes qu’on n’a jamais rencontrées « en vrai » et de s’apporter mutuellement de la valeur.
        Pour en revenir à ceux qui automatisent leurs miroitantes promesses sur twitter : l’avantage, c’est qu’on sait tout de suite qu’on n’a pas envie de les suivre d’avantage :-D
        Bonne fin de journée!

        1. bonjour à tous,
          merci à tous pour ces très intéressants commentaires, je vous rejoins, et en vous lisant, ça me rappelait les mails semi automatiques que je reçois « bonjour MADAME CHEVILLARD », tout de suite ça sent le rapport personnel…
          en fait, je voudrais dire que j’adore les abréviations, je suis la mauvaise élève du groupe. Je pense qu’il y a une culture différente de la communication selon le média et à qui on s’adresse. par exple sur le net, je me sens plus autorisée à écrire « court » (mais pas lapidaire XD), c’est peu être un tort. les personnes comme moi se sentent probablement plus à l’aise d’écrire comme çà si le contact est jeune, artiste …et qu’on écrit un commentaire sur youtube. désolee ITI, tu vois ton coup de gueule est utile.
          Parfois les gens sont très directs, écrivent le minimum, tout en restant chaleureux sincères et polis. parfois malheureusement, le manque de civilité, de respect sont présents dans un flux de paroles. je crois que quelle que soit la manière de dire, on s’en rend très vite compte et que ça permet de faire le tri comme tu le dis Selma,.
          Yves, as tu pensé à écrire « les bonnes pratiques de la communication sur le net » ?

          1. Bonjour Isabelle,

            Merci pour ton commentaire qui ouvre, comme à chaque fois, de nouvelles dimensions au débat. C’est important !

            Au-delà du respect, il y a une question d’image dans l’acte de communication professionnelle comme tu le sais. Or, lorsque l’on veut donner une image élégante et qualitative à l’autre (ça te ressemble bien en plus), écrire ses mots jusqu’au bout, fait déjà une certaine différence je crois.

            Je le rappelle, mon propos concerne les échanges professionnels.

            C’est là qu’Iti par exemple, est sur un créneau qui l’expose à ce genre de comportements. Il travaille dans un secteur que ses clients considèrent comme un hobby. Donc pour eux, pas d’image professionnelle à installer. Il est le seul, dans la relation, à devoir être pro… et je suis bien placé pour dire qu’il le fait très bien !

            Pour les bonnes pratiques du web… j’ai à mon actif un e-book qui développe déjà assez largement mes opinions sur ces aspects là ;-). Le premier chapitre est en accès libre sur la page E-book si tu veux t’en faire une idée.

            Par exemple, pages 9-10 du document, tu as un cas concret de ce qui se fait et de ce qui pourrait se faire pour fidéliser le client dans la relation commerciale sur le web.

            Pour finir, je te rejoins parfaitement quand tu dis qu’on sent l’intention des gens au-delà des mots et de leur orthographe ;-).

            Merci de ton excellente et inspirante intervention !

  6. Bonjour à tous !

    Loin de la réponse automatique, je viens prendre le temps de partager sur ce sujet. Je rejoins Isabelle au sujet des abréviations. Je crois que ça ne résume pas la personne et ses intentions.
    En communication il y a l’émetteur et le récepteur. Nous définissons chacun notre représentation de la communication par rapport à notre perception et à un jugement personnel basé sur des tas de choses qui reposent en grande partie sur notre éducation.
    La communication, c’est mon activité principale. Je trouve d’ailleurs qu’il n’y a rien de pire que la communication virtuelle pour rester sur des impressions erronées.
    Le « cdlt » et toutes les autres abréviations peuvent démontrer une forme de personnalité (je dis bien « peuvent »), qui ne fait pas de la personne quelqu’un d’impoli ou d’irrespectueux. C’est là où ça nous demande de dépasser nos à prioris et d’aller voir plus loin, au-delà de l’apparence que ce soit celle des mots ou celle du physique.
    Pour ce qui est de l’incivilité, j’observe que nous vivons dans un système déresponsabililsant, où le cadre est de moins en moins fixé ainsi que les limites.
    Le virtuel contribue d’ailleurs beaucoup à ce genre de comportement. Du moment où l’on se trouve derrière un écran, on croit que l’on peut se permettre tout ce que l’on veut. Ce n’est pas parce que l’on est « connecté » que l’on sait communiquer bien au contraire. La preuve, toutes ces personnes qui sont continuellement sur leur téléphone portable en formation ou pendant les réunions de travail et qui ne respectent pas l’intervenant.
    Perso, je fais tout éteindre quand j’anime un groupe. Le répondeur existe et si une personne refuse, je ne l’accepte pas sur le groupe.
    Dernièrement, j’ai discuté avec une personne qui avait une cliente irrespectueuse et celle-ci lui faisait perdre pied. Je l’ai invité à poser le cadre de son travail ainsi que le contrat. Celui-ci, une fois signé, permet de ramener le client dans ses engagements.
    Un client va se comporter d’une certaine façon si on le laisse agir ainsi. Le ramener aux limites et au cadre fait partie de notre posture de chef d’entreprise. Le cadre est rassurant et bienveillant pour les deux parties. Il respecte l’un et l’autre.

    Et pour ce qui est de notre communication où nous croyons détenir la science infuse, la meilleure leçon, c’est le client ou l’absence de client qui nous invitent à nous remettre en question et à nous ouvrir à une autre façon de faire et d’être. Parce que, sans ce client, finalement, serions-nous un chef d’entreprise ?

    Merci Yves pour cette réflexion et cette newsletter qui invite à un débat constructif. Perso, les pop-up m’horripilent ainsi que le pourrissement de la boite mail. Une fois tous les 15 jours, ça peut aller :-)

    A bientôt !