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Anti-blogging n°3 : S’adapter et s’inspirer

Bonjour à tous,

Et voilà, la troisième newsletter est arrivée. Au menu du jour, une belle leçon d’adaptabilité offerte par nos ancêtres agriculteurs et marins.

Adaptation et Inspiration

Aujourd’hui, j’aimerai vous proposer d’échanger sur vos expériences d’adaptation et vos inspirations :

  • Comment vous adaptez-vous aux événements ?
  • Votre entreprise prend-elle des virages pour concilier la conjoncture et votre projet à long terme ?
  • Quels sont vos inspirations en tant qu’entrepreneurs ?
  • Où allez-vous (physiquement et en ligne) lorsque vous avez besoin de réfléchir sur l’avenir de vos projets ?

Et comme à chaque fois, je prendrai plaisir à participer à tout cela avec vous :)

Soyez les bienvenues !

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  1. Plus on met de la résistance envers quelquechose, plus cette chose nous échappe.

    En général, devant une trajectoire qui s’avère (très) différente de celle que j’avais imaginé, je prends un grand bol d’air frais, au sens propre et figuré, je ne cherche pas de solution immédiate, je me pose; et ainsi je retrouve l’énergie et l’envie surtout de relever le défi qui s’offre à moi.

    1. Bonjour et merci Alexandra,

      Oui, rien de tel qu’une bonne prise de recul, pour éventuellement faire redescendre les pulsions émotionnelles qui faussent le jugement :) je suis parfaitement d’accord !

      Personnellement, j’aime beaucoup marcher en parlant à voix haute en rase campagne pour m’aérer. C’est devenu une hygiène de vie en ce qui me concerne.

  2. Il faut aussi voir les difficultés, les contraintes (de temps, de matériel, de finance, etc) comme une source de créativité. Ces contraintes ou problèmes peuvent nous pousser à sortir des sentiers battus. Le tout étant effectivement de ne pas se laisser arrêter par les problèmes.
    Mes principales contraintes sont la production: comment faire avec les moyens dont je dispose pour proposer des produits à prix raisonnables, mais de qualité. Partir du possible pour arriver à l’idée créative et partir de l’idée créative pour arriver au possible. Il faut, à mon sens, ne négliger aucune de ces deux « techniques » pour ni s’enfermer dans un process et perdre en innovation, ni se retrouver embarquer dans une folle course vers ce fameux lointain objectif.

    Merci pour ce blog très intéressant! Je suis arrivée là par hasard hier en cherchant tout autre chose, mais le hasard fait bien les choses, car je me rends compte maintenant que l’échange autour de entrepreneuriat était quelque chose qui me manquait.

  3. Bonjour Madame Pinson (j’hésite quand au prénom à utiliser, je vous laisserai me dire ^^),

    J’ai bien aimé votre blog et particulièrement vos articles avec photo et nuancier correspondant. Une pratique que j’apprécie beaucoup sur les blogs de certains profils « graphistes » :) Je tenais à le dire !

    Votre message me plaît beaucoup puisqu’il fait écho à une phrase qui ne me quitte jamais « rien n’est impossible » qui m’a été donnée par une grande professionnelle qui a beaucoup compté pour moi. Cette phrase a l’air banal, recèle en réalité tout un mode de vie et donc de pensé qui, de mon côté, me dicte mon activité.

    Elle rend les mots « possible », « faisable »‘, « réalisable » tellement plus élastiques..; et donne cette gymnastique dont vous parlez : quels sont mes moyens, quelles sont mes idées.

    Personnellement, je travaille comme ça : je commence toujours par les idées – les miennes et celles de mon client -, sans aucun frein, pour fixer ensuite des moyens, une suite de « possibles » qui amènent à l’idéal – qui l’instant d’avant avait l’air inatteignable.

    C’est une façon d’allier les deux méthodes dont vous parlez et qui me passionne :)

    Je suis ravi que vous vous sentiez bien ici, et je remercie les hasards du web de vous avoir amenée là :)

    A très bientôt je l’espère !

  4. Merci pour votre réponse, Yves.
    Effectivement, après avoir posté mon message, je me suis rendue compte qu’il aurait été plus judicieux de mettre mon prénom! Vieille habitude sur les blogs créatifs! Bref, pour ici, ça sera Amélie!

    Ce qui est génial, c’est aussi qu’en cherchant une solution pour réaliser une idée « inatteignable », on en arrive parfois à la déformer pour la rendre réalisable, tout en y gagnant en créativité… Double intérêt à ne pas s’arrêter à la première difficulté.

    Ceci étant dit, j’ai l’immense chance d’avoir un mari qui me soutient dans mon entreprise, ce qui m’aide beaucoup à dépasser les moments de découragement et à canaliser mes peurs ou mes « pertes d’équilibre » pour repartir. Pour moi, il est un « collaborateur » très aidant!

    Actuellement, mes difficultés les plus ardues à contourner sont celles liées aux limites du corps. J’ai des problèmes de santé depuis plus d’un an et demi qui empêchent tout déplacement (à pied comme en voiture) et ce sont effectivement les problèmes les plus paralysants (pour mon entreprise comme pour moi) que j’ai du mal à surpasser. Peut-être suis-je trop absorbée par le côté immaitrisable du corps et de la santé, sans me concentrer sur les solutions externes que je pourrais trouver… Une nouvelle piste de réflexion pour moi!

    A bientôt!

    1. Bonjour Amélie,

      Merci pour ce message très personnel.

      Concernant votre contrainte de mobilité, je dirai que nous vivons à une époque où les possibilités n’ont jamais été aussi vastes de se développer sans bouger.

      Je parlais d’inspirations dans cet anti-article, en voici une. Je ne sais pas si vous connaissez le film animé « Le seigneur des anneaux » de 1978, mais il contient une phrase qui m’a marqué très jeune.

      Sam Sagace, le plus proche ami du héro principal de l’histoire est en pleine panique puis il s’arrête et et dit « Tes jambes étant trop courtes, utilises ta tête ». (N’oublions pas qu’un Hobbit adulte fait maximum 1 mètre de haut).

      Il nous propose une excellente attitude : se poser en stratège en intégrant, dans votre entreprise, et comme condition de votre réussite, l’absence de déplacements.

      D’après ce que j’ai perçu de votre métier, il repose à la fois sur l’échange et sur le travail graphique. Soyons clairs, c’est une définition très acceptable de certains réseaux sociaux et sites communautaires :) En vrac : Pinterest, Instagram, DeviantArt…

      Sans aller trop loin puisque nous ne sommes pas en séance et que vous n’êtes pas là pour m’orienter, je formulerai volontiers une problématique simple : Comment développer mon entreprise sans bouger de chez moi ?

      Objectif 1 : Développer ma notoriété à distance.
      Objectif 2 : Amener mes cibles à me contacter.
      Objectif 3 : Inclure mon immobilité dans ma communication…

      Le reste nécessite du temps de travail et d’échange, mais voilà un plan d’action qui me paraît – sur le vif et après 2 commentaires – attrayant à suivre.

      En espérant ne pas avoir fait fausse route et donc vous être utile :)

      1. Bonsoir Yves.

        Merci pour votre réponse et vos pistes de réflexion.
        Tout ça mériterait effectivement que je m’y penche plus sérieusement et certainement avec un peu d’aide un jour!
        J’avoue ne pas comprendre ce que vous entendez dans l’objectif 3. L’immobilité ne me parait pas être un point positif à communiquer? Immobilité est souvent associé à immobilisme dans les esprits…
        En tous cas, merci, les échanges sont très agréables et constructifs ici, je reviendrai!

        1. Bonjour Amélie,

          Je suis content que vous me posiez la question… C’est là que mon métier prend de la valeur :) Patricia et Morgane vous donnent deux exemples parfait de votre solution lorsqu’elles parlent de leur enfance parfois contrainte qui, avec recul et bienveillance, devient une composante importante de leur activité.

          Une « Faiblesse » – c’est le terme utilisé dans une matrice SWOT – peut devenir une « Force ». Tout est dans la façon de la regarder, puis de l’accepter, de l’inclure à votre activité et enfin de l’exprimer pertinemment à vos publics cibles.

          C’est à ce moment que cet anti-blogging montre qu’il n’est pas juste une sympathique discussion à bâtons rompus, mais peut donner naissance à un acte avancé de « stratégie de communication » :-).

          Rien que d’en parler, je ne tiens plus en place :-D

          Bien à vous, bonne réflexion et bon weekend !

          1. Patricia, Yves, comment ne pas répondre. Pendant très longtemps, j’ai été considérée (et du coup me suis considérée) comme une intello pure et dure avec une créativité manuelle proche de zéro. Ce côté « rat de bibliothèque » créait souvent du mépris et j’en ai souffert. Jusqu’au jour où j’ai décidé d’en faire mon métier et de mettre mon talent au service de mes clients. Du coup il a pris beaucoup de valeur et nombreux sont ceux autour de moi qui m’ont dit « je ne savais pas que tu écrivais aussi bien » (merci) et « je n’aurais jamais cru que tu pourrais en vivre » (pas encore tout à fait mais cela ne saurait tarder :D ). Cette faiblesse est donc devenue ma force et m’a ouvert la porte sur d’autres types de créativité comme la photo ou le dessin, dans lesquels je n’ai pas de talent mais qui me permettent de changer de point de vue. C’est pour cela que je dis souvent à ceux qui m’affirment ne pas savoir écrire que cela ne doit pas les empêcher d’écrire, si ça leur fait du bien, c’est tout ce qui compte. Allez zou, je file !

          2. Bonsoir Yves,

            Merci pour cet éclaircissement!
            ça reste assez difficile pour moi à concevoir, mais les clés sont dans votre réponse: recul et acceptation…

  5. Bonjour Yves

    Comment vous adaptez-vous aux événements ?
    Ahhh, combien de marins, combien de capitaines… c’est ce que j’ai lu sur la newsletter et qui répond à cette question. Mon père n’était ni marin ni capitaine mais militaire. Et j’ai connu un déracinement permanent où il fallait à chaque fois se refaire des amis, reprendre des repères, savoir perdre tout çà aussi à la prochaine mutation.
    Pendant un temps, je lui en ai voulu et puis, avec le temps, je me suis rendue compte qu’il m’a fait un sacré cadeau car de cette vie, j’ai développé un sens de l’adaptation qui me permet d’aller de l’avant. Je sais que tout est encore possible ailleurs et quoi qu’il arrive.

    Votre entreprise prend-elle des virages pour concilier la conjoncture et votre projet à long terme ?

    Ouh la oui, le chemin est loin d’être linéaire et ça demande à être souple. Le virage peut même m’amener à faire un demi-tour pour me signifier que je suis passée à côté de quelque chose, que je n’ai pas bien entendu. Il y a presque une joie à devenir un pilote et à parfois lâcher le volant pour laisser faire les choses.

    Quels sont vos inspirations en tant qu’entrepreneurs ?

    A ce que chaque être humain trouve du sens dans ce qu’il fait. A ce qu’il agisse en toute connaissance afin d’être là où il se sent le mieux et en accord avec ce qu’il est.
    A ce que nous arrêtions d’avoir peur de perdre notre petit territoire parce que l’autre marche dessus. Il y a de la place pour tout le monde, il suffit de l’occuper justement, sans jalousie ni avidité.

    Où allez-vous (physiquement et en ligne) lorsque vous avez besoin de réfléchir sur l’avenir de vos projets ?

    Au bord de l’eau. Une eau vive, qui revigore, qui jaillit, qui chante, qui apaise aussi. Les yeux ouverts sur un immense panorama, que ce soit à la campagne, à la mer ou à la montagne, ça m’ouvre l’esprit, sans limite. Et puis en retraite de méditation pour plonger dans le silence, dans mon silence, sans parasitage, et laisser remonter et décanter ce qui est nécessaire, sans jugement.

    Très chouette finalement cette newsletter !!

    1. Bonjour Patricia,

      Je suis heureux qu’elle vous plaise « finalement » cette newsletter :).

      Merci de cette participation et de votre partage très intime ! C’est une merveilleuse illustration – et on en a toujours besoin – de l’importance de l’histoire d’une personne sur sa vie, y compris professionnelle.

      Je vous remercie également d’avoir partagé avec nous vos Aspiration, mais qu’en est-il de vos INspirations ? :)

      Vos sites favoris ? Vos lieux, livres, émissions etc. préférés, qui vous permettent de prendre le recul nécessaire ?

      Merci à vous !

      1. Respirez… Inspirez…. Soufflez…. :-)

        Re-bonjour Yves !

        Il me semble que dans mes ASpirations se nichent aussi mes INSpirations, notamment quand je vous parle des endroits où je vais me ressourcer et où je prends du recul.

        Je pars faire de la randonnée le long des sentiers de montagne, je fais du vélo sur le bord de la Saône, je m’assois près d’un cours d’eau. Je pars dans un centre bouddhiste en Auvergne et je visite les vieilles pierres parce que j’adore l’histoire et c’est toujours inspirant de voir ce que des hommes ont pu faire à une certaine époque avec si peu de moyens.
        Dans le bouddhisme, je m’inspire de la synergie de groupe où une multitude de personnes peuvent, ensemble, bâtir un temple, en mettant en commun leurs compétences diverses. Un réseau solidaire.
        Je m’inspire également de Lama Guendune Rinpoché qui était tranquillement dans sa zone de confort au Tibet quand on lui a dit de partir en occident, en France, pour installer un lieu de retraite et un autre lieu où seraient donnés des enseignements. Il ne parlait pas français, il était seul, il est arrivé dans le Périgord et, parce qu’il était porté par une confiance sans borne, il a réussi, avec d’autres personnes qui se sont fédérées autour de lui, à construire tout çà.
        Je me dis que moi, à côté, ce n’est pas grand chose de monter mon entreprise.

        Et pour tous ces hommes qui ont fait de magnifiques monuments avec si peu de moyens et qui leur ont demandé une vie entière, qu’est-ce qui ferait que je me découragerais si vite alors qu’aujourd’hui, beaucoup de choses sont accessibles en faisant très peu d’efforts !

        Je n’ai pas de site préféré car le virtuel n’est pas mon moyen de communication favori. Je suis plus dans de la proximité. La télé est aussi rarement allumée. Je préfère la musique, les livres, le monde extérieur comme la nature et l’humain.

        Un livre de chevet inspirant : le manuel du guerrier de la lumière de Paulo Coelho. Il touche mon énergie de samouraï et de guerrière qui oscille entre le tranchant du sabre et la souplesse à mettre dans chaque avancée.
        Un homme qui m’inspire : Jacques Salomé parce qu’il a fait son petit bonhomme de chemin sans se préoccuper de ceux qui ont essayé de le mettre en porte à faux sur ce qu’il transmet.

        Et puis la Vie m’inspire tout simplement parce que je me rends compte que même si l’on croit contrôler, on ne contrôle rien. Elle m’inspire constamment par son lot de surprises, d’étonnements, de cadeaux même dans les moments difficiles.

        Voilà Yves. Le recul est là constamment. Il fait vraiment partie de mon hygiène de vie. J’ai appris à le côtoyer dans l’art martial et dans la méditation pour développer l’observation, l’écoute et l’attention.
        Merci également pour ce partage !

        1. Tiens, tiens, Patricia, je suis moi aussi une passionnée des vieilles pierres. mes lieux favoris ? Ces petites églises ou vieux châteaux en ruines où j’aime imaginer la vie de ceux qui y ont vécu…

          1. Ah, je suis content que ce supplément d’informations vous amène une chaleureuse rencontre, Patricia. Comme quoi, je le sentais :)

    2. (encore moi) très beau blog, qui, je le sens, va rejoindre mes favoris ;) A bientôt Patricia

  6. Bonjour Yves,
    Eh oui, c’est encore moi, la commentatrice compulsive (et je ne me soigne pas), tu m’as fait sourire 4 fois.
    Sourire 1 : les marins. Née à Toulon, fille de marin, à moitié bretonne, dont le prénom signifie Née de la mer, le nom « gens du fleuve » et… Poisson. N’en jetez plus ! l’eau et moi, comment dire, on est potes !
    Sourire 2 : les agriculteurs. Ma moitié est issue d’une longue lignée agricole, nous sommes tous les 2 ingé en agriculture et j’ai passé 15 ans de ma vie pro pas si loin des champs, des serres, des bottes… même si je suis une citadine dans l’âme ! Ce que j’en ai garder ? L’amour de la pluie, même quand elle dure trop longtemps. (l’eau, toujours l’eau)
    Sourire 3 : Madère, souvenir superbe de vacances
    Sourire 4 : créativité, credo de ma vie actuelle, certainement un des mots que je prononce le plus souvent (je dois même être assez soulante)

    Sinon, pour répondre à tes questions (oui j’ai gardé un côté scientifique avec mes 1,2,3…)
    1- je ne sais pas ! Je le fais c’est tout. Oh ne va pas croire que cela se fasse toujours dans la joie et la bonne humeur. En général je stresse un bon coup, je me dis que tout va mal, je laisse couler et tout s’arrange. Je suis une adepte du « tout arrive au moment où cela devait arriver, positif et négatif, et il en ressort toujours quelque chose ». Comme Patricia, peut-être que cela vient d’une enfant trimballée dans tous les sens (militaire…). Je ne sais.
    2- virages, c’est mon deuxième prénom. J’ai l’impression d’évoluer en permanence, de m’adapter aux conditions extérieures mais aussi à moi-même. En même temps, faire un accompagnement avec Céline B et ne pas changer, ça semble impossible, non ?
    3- inspirations : tout mon capitaine ! les autres, les blogs, les discussions, les sites, marcher dans la rue, jouer avec mes enfants, dormir, une série idiote (ou intelligente), bouquiner, prendre le train, manger ou avoir faim. Tout m’inspire, c’en est même fatiguant.
    4- je prends un bain, je vais sur ma terrasse ou je m’installe sur mon canapé avec mon cahier orange et mon stylo noir et je griffonne.
    A bientôt !
    PS : et toi, peux-tu à ton tour répondre à ces questions ?

    1. Bonjour Morgane,

      C’est toujours un plaisir de te lire !

      Je suis sûr que prendre un bain dans ton canapé (un bain de siège ? oO) sur ta terrasse doit être très ressourçant ^^.

      J’ai adoré connaître tes quatre sourires également. La joie est contagieuse et ça m’a donné une sacrée pêche :)

      De mon côté, oui, je peux répondre à ces questions. Je le fais dans un commentaire séparé juste en dessous si tu veux bien – Parce que les commentaires ont la désagréable habitude de gommer les sauts de ligne et je m’en excuse, mais je suis en train d’y travailler !

      1. C’est vrai, on peut dire que je siège dans mon bain telle Cléopâtre ! D’ailleurs, c’est le seul endroit (enfin presque) où mes enfants ont INTERDICTION de venir m’embêter.
        Du coup, tu peux rajouter un rire aux sourires, c’est cool.

        1. Interdiction avec tout ça de majuscules… wahou ça rigole pas en Egypte (ou alors si… je m’y perds^^ ) !

    2. Bonjour Morgane !

      J’adore votre énergie et ce naturel !
      Bonne journée à vous

      1. Merci Patricia, le double compliment me va droit au coeur ! Bonne journée également :)

    3. Bonsoir Morgane!
      Ravie de voir que je ne suis pas la seule à parfois trouver de l’inspiration aussi dans une série au niveau plus ou moins élevée! Je n’aurais pas osé le dire si vous ne l’aviez pas fait :)
      L’inspiration est partout!

      1. Exactement ! J’ai appris à oser être moi-même, que cela plaise ou pas autour de moi. je n’ai plus peur de dire que j’aime les thrillers hyper glauques, les films romantiques (mais pas trop) pendant lesquels je peux pleurer comme une madeleine (mais d’où vient cette expression ???!!!), avoir les potins de l’ancienne boite où j’étais même si peu à peu cela perd en saveur puisque je ne connais plus les gens (intéressant non !).
        D’oser assumer mes goûts, cela me permet d’être aussi plus bienveillante envers ceux des autres, d’éviter de juger. Sauf la violence gratuite, l’humiliation et autres joyeusetés, là évidemment, non.
        Je ne sais pas quel âge vous avez Amélie. J’ai passé il y a quelques mois le cap des 40 et j’ai adoré. Je me sens tellement plus sereine. Même si le regard des autres me touche encore et toujours, je sens que peu à peu j’arrive à m’en détacher et cela fait beaucoup de bien.
        Vive l’inspiration, vive la créativité, vive l’imagination ! (et vive aussi le sommeil pendant lequel je peux enfin débrancher mon cerveau… oO)

        1. Bonsoir Morgane,
          10 de moins!
          J’aspire pas mal à cette sérénité vis-à-vis du regard des autres. Bizarrement, c’est parfois dans les choses les plus anodines que j’ai du mal… Je n’ai, par exemple, eu aucun mal à assumer mes choix professionnels alors que mes aptitudes scolaires me conduisaient tout droit vers une carrière d’ingénieur ou autre profession intellectuelle.
          Je sens (l’imagine!) beaucoup plus le regard des autres lorsqu’il s’agit d’assumer que, oui, mon lieu de vacances préféré, c’est le fin fond du Berry et pas la dernière destination à la mode ou autre petite chose sans importance de ce genre…
          Allez, il me reste des tas d’années devant moi pour apprendre à oser! :)

  7. Mes réponses à ces quatre questions :

    – Comment je m’adapte aux événements : En me questionnant. Je considère que le reste du monde n’est jamais fautif. Si quelqu’un peut faire évoluer ma situation, c’est avant tout moi. En étant plus ouvert, plus agile… Mais surtout en étant plus moi !

    En construisant mon entreprise autour de moi, je sais que si quelque chose coince, c’est que c’est moi qui me suis crispé. Donc je cherche à me retrouver.

    – Les virages de mon activité : « Un bon communiquant ne tape pas dans les murs, mais il les contournent » disait cette merveilleuse prof dont je parle sans cesse. On pourrait parler de Matrix ausi… « La cuiller n’existe pas ». La « Crise » non plus ! Le tout est d’identifier les murs à contourner, d’être persuadé qu’ils ne sont QUE des murs… et parfois de faire appel à son flair pour aller là où on ne va jamais !

    – Mes inspirations sont surtout romanesques, documentaires, bloggosphériques (joli non ?) et ludiques. Autrement dit, je lis peu de presse professionnelle, beaucoup de blogs étrangers, beaucoup de romans (je suis fan de Terry Pratchett, d’Agatha Christie, de Conan Doyle), je regarde énormément de documentaires traitant d’idées et de solutions (les stratégies naturelles si vous saviez, l’archéologie, l’Histoire, les Sciences…) et je joue ! Je suis né dans une famille de rôlistes, j’ai toujours joué à beaucoup de choses et c’est un besoin. Mon travail me fait du bien. C’est un jeu d’esprit. Un jeu que je fait très sérieusement entendons-nous bien, mais un jeu merveilleux dans lequel je me pose des défis !

    – Lorsque j’ai besoin de réfléchir : Physiquement, mon bureau est un Moodboard géant. J’ai installé une corde avec des pinces à linge au-dessus de ma table de travail pour y accrocher ce que je veux traiter et ce qui m’y aidera. Je marche beaucoup aussi. Souvent le soir et en rase campagne pour pouvoir parler à haute voix tranquillement. et puis je fais des percussions avec tout, n’importe qui et même le reste. Le plus souvent avec mon corps du reste.

    Virtuellement : Pinterest, Stumbleupon et Springpad sont mes amis puisqu’ils me proposent des contenus imprévus qui m’oxygènent, m’inspirent, stimulent mon imagination… bref, à l’instar de la drogue pour Sherlock Holmes, ils ravivent mon esprit quand celui-ci est en panne (et sont meilleurs pour la santé) !

    Voilà pour te répondre Morgane :)

  8. 1- en observant, en ressentant, en m’écoutant
    2- Je suis mon intuition, je vais vers ce qui m’attire, je dépasse mes peurs (souvent les 2 derniers marchent ensemble et c’est bon signe) et je persévère…Le maitre mot : patience… et puis je saute dans le vide
    3- je lis beaucoup, je regarde des films, j’écoute de la musique et je me rends aux spectacles vivants, je marche dans la nature, internet… je regarde le monde qui m’entoure…Je fais confiance à ma curiosité et moi qui adore la cuisine (le lieu, ce qui s’y prépare, les gens qui la font, comment, pour qui, quoi…Je puise là aussi mon inspiration…Dans mon quotidien
    4- Concentration, solitude, écriture…c’est aussi un processus…en courant aussi, et puis quelquefois aussi c’est juste en accueillant et donc en étant dans la présence…. Et puis en allant chercher une écoute neutre et bienveillante….et faisant Confiance dans le temps, en moi, en la vie…en partageant aussi

    1. Bonjour Sybille,

      Merci de vous être prêtée au jeu. Vous qui venez ici depuis longtemps savez comme j’aime la métaphore de la cuisine et des métiers de bouche.

      Je suis donc d’autant plus heureux que vous ayez eu l’idée de citer ce lieu magique dans vos réponses :) C’est vrai que c’est un endroit tellement important – et de tous temps d’ailleurs.

      Un important siège de créativité, de partage, de générosité, de dialogue, de diversité ; un lieu de convictions et de combats aussi depuis quelques années…

      Merci de l’avoir fait apparaître ici c’est une excellente idée !

      1. « Se prêter au jeu » comme vous dites , fut pour moi un plaisir d’autant plus que le jeu est aussi une grande source d’inspiration et de réflexion ;-) . Et en ce qui me concerne, je vous remercie de permettre à ceux et celles qui désirent construire, créer, inventer leur vie , d’ouvrir de jolies portes en posant des questions , en offrant une vision différente…Une porte d’espérance et de responsabilité… Venir ici et observer votre « cuisine » m’enthousiasme, c’est une des raisons pour laquelle je viens voir régulièrement :-) Beau dimanche