Skip links

Mon voeux pour 2013 ? Des entreprises qui (s’) épanouissent !

Bonjour à toutes et à tous,

Je vous présente tous mes voeux pour cette nouvelle année et notamment un tout particulier.

Je vous souhaite pour 2013 d’avoir la volonté et le plaisir de mettre le doigt sur ce que vous voulez véritablement faire dans votre vie et donc dans votre entreprise.

– Parce que se sentir vivant au travail est merveilleusement bon pour votre santé, pour votre moral et donc celui de votre entourage (famille comme collaborateurs).

– Parce qu’on est magnétique et irrésistible quand on est passionné par ce que l’on fait et ce que l’on dit.

– Parce que le temps n’est plus un ennemi dans ces moments là. Et oui, en étant bien dans ses pompes, on est capable de s’arrêter et de reprendre sans perdre en productivité… et donc de gérer son temps de façon plus équilibrée.

– Parce qu’on est naturellement créatif quand on communique sur ce que l’on aime et ce en quoi on croit.

– Et parce qu’ensuite, une relation commerciale devient un échange bienveillant et plus un grand oral ou un remake de La Grande Arnaque. Et ça, ça ne fera pas de mal à notre Monde !

Résumons-nous : Santé, bonheur pour vous et vos familles, réussite, plaisir et créativité, voeux pour la planète… je crois que j’ai fait le tour.

Bonne année à tous :) !!

… Et à très vite ici, sur Facebook et dans d’autres coins du web et du monde dont nous reparlerons bientôt…

Source de l’image

[vc_contact_form label_name= »Nom » label_email= »Email » label_subject= »Sujet » label_message= »Message » label_send= »Envoi » css_animation_speed= »faster » css_animation_delay= »0″ email= »yves.bonis@gmail.com » error= »Veuillez renseigner un email valide s’il vous plaît. » success= »Votre message a bien été envoyé. Merci ! »]

Abonnez-vous simplement ici pour recevoir les prochains articles par mail...

Leave a comment

Notifiez-moi des commentaires à venir via email - Vous pouvez aussi vous abonner sans commenter.

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

  1. Bonjour Yves! Je passe d’habitude en sous-marin…mais il est temps que je participe! J’aime beaucoup l’idée d’échange bienveillant dans la relation commerciale + le plaisir à mettre le doigt sur ce qu’on veut véritablement faire :-) Mais qu’est-ce qui nous empêche de le trouver plus tôt? D’y croire? De mettre le doigt dessus dès le début? La peur de l’avis des autres et la critique? Qu’est-ce que tu en penses?

    1. Bonjour Selma et merci d’avoir abandonné le périscope pour venir participer ici :)

      Je reviens sur ta question « qu’est ce qui nous empêche de le trouver (ce que l’on veut faire) plus tôt ». Voilà mon opinion :

      Pour commencer, je crois que c’est un processus. Comme dirait l’autre « le bonheur n’est pas une destination mais un chemin ». C’est pour cela que j’ai parlé dans l’article « d’épanouissement » (sans fin déterminée) plutôt que « d’accomplissement » :).

      Pour le reste, le premier facteur qui amène à ne pas trouver cela, c’est que nombre de personnes ne se posent jamais la question.

      Ensuite, ma petite expérience m’a montré que ce qui peut nous empêcher de mettre le doigt sur ce qui compte pour nous est variable d’une personne à l’autre :

      – L’éducation (même des mots malencontreux d’un parent énervé qui dit « qu’est ce qu’on va faire de toi » peuvent culpabiliser et freiner durablement quelqu’un).
      – La culture (au sens social du terme) qui encourage au dur labeur plutôt qu’au travail plaisir. Et qui décourage tous ceux qui voudraient sortir du rang dès l’enfance (par exemple « artiste ? c’est pas un métier ça ! »).
      – Le « qu’en dira-t-on » effectivement et les modèles de réussite rapides et stéréotypés véhiculés par les médias… sans doute un peu pour mettre le moral du lambda au ras des pâquerettes (« si à 50 ans t’as pas ta Rollex… »).
      – Ceux qui sont déjà en place et qui intimident ou font passer la réussite pour un truc élitiste, rien que pour préserver leur pré carré.

      Chacun y trouvera ses petits et en aura d’autres à proposer. C’est notamment là que se joue l’unicité de chacun. En tout cas, c’est notamment avec tout ça que je travaille avec mes clients puisque ce sont ces barrières qui forgent l’individus et lui donnent aussi son relief, ses aspirations et ses aspérités.

      Et voilà Selma mon avis sur la question. Cette réponse te satisfait-elle ?

      La question d’après, ce serait « qu’est ce qui fait qu’après on y croit et on se lance »… et là aussi vos avis sont les bienvenus :)

      1. J’en ai oublié du coup je me complète ^^

        Je crois que ce qui peut également nous empêcher de progresser sur cette recherche, c’est la difficulté à prendre le recul nécessaire pour récapituler ce qu’on aime faire – en toute honnêteté intellectuelle, pas mécaniquement – puis pour transformer toutes ces infos en un chemin de vie qui soit naturel. Et pas contraignant et politiquement correct (les fameuses résolutions en bois de début d’année).

        Cette gymnastique créative là – faire des ponts entre son histoire et son avenir pour en faire un présent dans lequel on est bien -, demande des efforts considérables auxquels tout le monde n’est pas prêt… et pas tout le temps.

        Ca me paraissait important à rajouter :)

        1. C’est en effet très compliqué : on peut en toute sincérité se mentir à soi. Et si une brèche s’ouvre , cela peut mettre en péril tout un pseudo équilibre de vie, pour soi et pour tout son entourage. Survient alors la crainte de ne pas être reconnu par ses pairs, la crainte de se perdre, le manque « d’enracinement » et le manque de confiance inculqué dans tous les discours de notre culture « (par les temps qui courent, comment va-t-il faire, et ses études, comment trouver la bonne voie ? aujourd’hui, on ne peut pas s’en sortir si on perd son emploi …. « )
          Sans compter l’école : Si l’on pose la question aux enfants dès 6 ans : « pourquoi doit-on venir à l’école ? », réponse de ces derniers: « Pour avoir un métier plus tard »…
          je rêve du jour où on entendra : « pour continuer à apprendre à être heureux »…

          Bref, quoi qu’il arrive, je vous propose le petit dicton humoristique que j’affectionne tant : « n’oubliez pas de rester un peu fêler, pour laisser passer la lumière « . C’est absolument salvateur !

          Bien à vous tous.
          Lara

          1. Ah ce dicton est énorme !!! On pourrait dire que les idées sont des papillons de nuit… la lumière les attirent :)

  2. J’attends l’avis d’Yves également Selma mais force est de constater qu’il existe des personnes qui naissent et grandissent avec de véritables racines et convictions, il n’y pas d’âge pour être à la bonne « place » . Je pense pour ma part que nos histoires nous construisent souvent à côté de nos pompes … C’est alors un travail plus ou moins long d’harmonisation qui s’opère. Le principal, c’est d’y parvenir.

    C’est ce que je souhaite à tous ici , je suis pour ma part convaincue que si l’on arrive sur ce blog, « la dite harmonisation » est en court :-) !

    Bonne année à tous.
    Lara

    1. Bonjour Lara,

      Vous trouverez ma réponse juste au-dessus de votre commentaire :) Et force est de constater que nous sommes bien d’accord !

      Je suis totalement d’accord avec vous, il n’y a pas d’âge pour se mettre en phase. Notamment parce que, pour moi, c’est une quête continuelle. On commence quand on veut :)

      Pour terminer, je vous remercie infiniment pour votre dernière phrase qui m’emplit de fierté et de joie !

      Très bonne année à vous !

  3. Aaa merci Yves + Lara pour vos réponses!

    Alors déjà, oui, je crois que quand on arrive ici, c’est forcément qu’on est sur le chemin en question ;-)

    Je réfléchis beaucoup à ce sujet-là pour être, dans le passé, partie trop loin de mes pompes comme dit Lara :-)

    Et plus j’y pense, plus je suis consternée justement de me rendre compte à quel point l’éducation, même bienveillante, associée à la culture ambiante peut nous bloquer dans nos élans. Ce n’est pas pour critiquer qui que ce soit car je pense que tout le monde fait au mieux et que c’est après à chacun de nous de faire le travail nécessaire…et de ne pas reproduire/transmettre ces blocages.

    Alors oui, Yves, je retrouve tout à fait mon raisonnement dans les raisons que tu analyses.

    Quant à ce qu’on fait après : lis-tu l’anglais? car dans Uncertainty, l’année dernière, Jonathan Fields s’est sacrément penché sur les réponses et c’est un livre qui m’a beaucoup inspirée.

    Et puis le diction de Lara me fait penser à la chanson de Léonard Cohen : « Il y a toujours une fissure, c’est par là que passe la lumière » (there’s a crack in everything, that’s how the light gets through »)

    Enfin, Yves, je vais « facebooker » ta phrase sur les idées papillons de nuit attirées par la lumière! J’adore!

  4. je reviens aussi me compléter ^^

    en parlant de culture : j’ai lu des témoignages de représentants de peuples « lointains » complètement étrangers à notre culture occidentale, après un séjour pour une conférence ou un sommet je ne sais plus où en Europe.

    bref, des tibétains étaient étonnés de la mauvaise opinion que nous, les occidentaux, avons de nous-mêmes. individuellement, je veux dire. nous sommes dans l’idée que nous ne méritons pas vraiment mieux que ce que nous avons, que ce serait être présomptueux, qu’il ne faut pas se prendre pour n’importe qui, etc…nous avons souvent une image négative de nous mêmes. je ne m’en étais jamais rendue compte mais la justesse de cette observation m’a frappée quand je l’ai lue.

    Peut être que moins on a confiance en soi, plus on a besoin de l’approbation des autres, donc plus c’est compliqué de rechercher et d’assumer sa différence?

    1. Et bien pour commencer Selma, surtout n’aie plus jamais peur de commenter ici, c’est un plaisir et on a matière à réflexion :) !

      Je ne connais pas la culture tibétaine, mais chez nous, je crois que beaucoup sont tétanisés par le spectre de la prétention. On ne voit pas d’espace entre la mésestimation de soi et la vanité, qui est culturellement déplorable et sérieusement punie au moindre faux pas.

      Du coup, il est moins risqué de ne pas faire de vagues, plutôt que de prendre le risque de trop l’ouvrir et d’être sanctionné. On s’empêche même de penser sans nuances tellement la crainte est ancrée.

      Et pourtant, on a tendance à dire que les meilleurs d’entre nous restent humbles. Cela ne veux pas dire qu’ils ne connaissent pas leurs – parfois immenses – qualités puisqu’ils s’en servent sciemment et le plus souvent possible.

      Il y a donc un espace apaisant et moteur qui permet d’assumer ses qualités, de savoir que l’on est bon, sans culpabilité ni ostentation. On peut appeler cela de la confiance en soi ou du recul ou autre chose après tout.

      Ce qui est certain c’est que dans cette zone là, je crois que l’opinion d’autrui est moins prépondérante. On souffre moins de la critique et surtout, on attend moins des autres la validation de ce que l’on fait ou dit.

      Heureux tibétains :)

      Je regarderai le livre que tu m’as recommandé et je te remercie du conseil.

      Quant au papillon c’est bel et bien la fêlure qui laisse passer la lumière qui me l’a inspirée alors je suis heureux que cette improvisation t’aie plu.

      A bientôt !

      1. Bonsoir Yves! Et merci pour l’accueil :-)

        Récemment j’écrivais justement qu’il fallait faire attention à ne pas confondre se mettre en valeur (et donc ses produits, ses créations, son entreprise) avec être arrogante. Je le mets au féminin, car nous (les femmes), sommes particulièrement éduquées dans ce sens-là : ne pas se mettre en avant, ne pas faire son intéressante…et on devient très fortes pour s’auto-saboter professionnellement. On est donc tétanisées par le spectre de la prétention comme tu dis, et aussi par celui de ne pas être à la hauteur (de nos rêves. On ose à peine y penser!)

        Ce que tu écris me fait penser à un autre aspect : on a tendance à croire que ceux qui réussissent y arrivent de manière fluide + naturelle + rapide. Presque sans effort. Et sûrement pas en doutant! Donc quand on se rend compte de la montagne de travail qui nous attend si on veut faire ce que nous voulons vraiment : on se décourage d’avance, on n’y croit plus car ça ne cadre pas avec cette image de talent naturel + de réussite fluide/facile.

        Que penses-tu de cet aspect-là? Bonne soirée!

        1. Alors je tiens à ajouter que l’auto sabotage n’a pas de sexe :) Les hommes sont nombreux également à croire que certains naissent doués et d’autres mauvais ou encore que la route est trop longue. Ou même qu’il existe des recettes miracles connues de certains seulement.

          Je crois que quand on trouve la route trop longue, c’est qu’on se trompe. Une anecdote personnelle à ce propos :

          Je fais de la batterie depuis que j’ai 4 ans. Ca fait donc 24 ans que je joue. J’ai joué tous les jours pendant des années dès que j’avais un moment pour ça. Je n’ai jamais eu la sensation de travailler. Pourtant, je me suis donné tout seul (je suis quasiment autodidacte sur ce plan) une discipline très rude. mais toujours dans le plaisir. Du coup j’ai progressé régulièrement, sans prétention mais de façon effective et cela a eu un impact fort dans ma façon de vivre.

          A contrario, un jour, j’ai choisi bêtement de faire de la trompette. C’était un choix de situation et pas de coeur. J’ai souffert 3 ans et je n’ai rien retenu des exercices que l’on m’a imposé… et qui étaient pour moi une contrainte.

          Ca paraîtra anecdotique, mais pour moi c’est très représentatif de ce dont tu parles. Le terme de « réussite » est très personnel et si la route a l’air trop difficile, c’est peut être que ce n’est pas la bonne pour soi !

          La bonne route n’est pas dénuée de difficultés et d’obstacles pour autant. Mais on a un tout autre élan quand on fait ce qui nous plait véritablement selon moi.

          … l’échange est tellement riche que je crois que je vais le retranscrire en un article pour que d’autres puissent partager la discussion avec nous ;)

          1. Ce qui est terrible c’est qu’il est terriblement plus couteux ou énergivore de lutter que de se laisser porter … Tout est tellement plus facile lorsque l’on est sur le bon « cours d’eau », les obstacles et difficultés existent mais il y a toujours des portes qui s’ouvrent, des nouveaux horizons à découvrir. Ce qui n’est pas le cas si on se trompe de voie : il faut lutter en permanence pour tout, à commencer contre soi-même.

          2. Bonsoir Yves! Merci pour ta réponse!

            Ah l’auto-sabotage n’est pas une exclusivité féminine certes, mais voici un article – qui date un peu mais très parlant – lequel m’avait en partie ouvert les yeux sur le sujet (concernant les femmes en tout cas, les hommes restent à étudier!) : [lien mort donc supprimé]

            Je ne sais pas si quand on trouve la route trop longue c’est qu’on se trompe forcément…Je veux dire que oui, ça peut être le cas, mais ça peut aussi être parce qu’on ne voit pas l’intention profonde de cette route. Parce que sortir de sa zone de confort et de ses habitudes peut être impressionnant, aussi. Parce qu’accepter sa différence n’est pas forcément confortable.

            J’essaie d’expliquer : par exemple la technique et moi à la base vraiment ça fait 2. ça m’ennuie, j’ai du mal à comprendre. Mais quand j’ai dû mettre les mains dans le code pour construire mon blog, je l’ai fait quotidiennement pendant plusieurs mois sans être à l’agonie :-) parce que je savais pourquoi je le faisais, parce que j’avais mis le doigt sur ce que je voulais vraiment faire, indépendamment de l’avis des autres, et que j’avais besoin de mettre les mains dans le code pour ça.

            Comme tu dis, même la bonne route peut être ( et est en fait je crois) pleine d’obstacles, d’erreurs et elle est longue. Je ne crois pas qu’elle soit plus facile, mais on sent qu’on grandit au lieu de stagner. Même sur la bonne route, on apprend à lutter contre soi-même, contre ses doutes, contre son ego. Mais c’est pour le mieux, pour s’améliorer. Et les efforts qu’on doit déployer en valent largement la peine parce qu’on se sent…vivant. Si on sait pourquoi on fait tout ça et qu’on est profondément connecté avec ce « pourquoi ».

            J’aime beaucoup cette phrase de Steve Jobs « Se rappeler que vous allez mourir est le meilleur moyen que je connaisse pour éviter le piège de croire que vous avez quelque chose à perdre » – En tout cas, dans les moments où la route semble un peu trop longue, ou un peu trop difficile, cette phrase est très motivante.

            j’espère que je ne fais pas prendre un tour trop philosophique aux commentaires là?! mais c’est que j’y vois un peu le fond du problème : on attache énormément d’importance à l’avis des autres, à ne pas faire de vagues etc parce qu’on ne voit pas que le temps presse.

            Bon j’arrête, je suis intarissable sur le sujet :-)

            Bonnuit!

          3. J’aime beaucoup tes mots Selma et y adhère pleinement. Je ne sais pas si le fond de la discussion est trop « philosophique », « sociologique », psychologique », mais quel qu’en soit la logique, cela m’intéresse follement également :-) merci pour ces partages !! :-)

          4. La discussion est surtout follement riche et attrayante :) Rien de « trop » ne t’en fait pas Selma !

            Cela dit, je ne sais pas si vous l’aviez déjà remarqué mais si vous visitez vos pages Facebook respectives vous vous trouverez peut être d’autres atomes crochus Selma et lara :)

            Merci en tout cas de si bien animer le débat pour ce premier article de 2013.

  5. J’avais dans le même esprit suivi une émission ethnologique sur une tribu amazonienne ou indonésienne, je ne sais plus mais qui n’avait subit aucune influence occidentale. Cette tribu donne un « nom » à chaque nouveau-né en lien avec la fonction qu’il occupera au sein de la communauté. Ainsi chacun se construit en même temps que son identité et son futur rôle social.
    Nous, on doit tout construire en fonction non pas des besoins mais de ce qui « gênera » le moins, des aléas culturels, l’implicite et les non dits sont prépondérants … Ce sont ces derniers qui nous freinent, si nous ressentons réellement des besoins, nous sommes en capacité aujourd’hui d’en créer des réponses, faut-il se faire suffisamment confiance pour affronter toute la « nébuleuse » qui n’est au final qu’un écran de fumée …

  6. Bonne année Yves !
    Merci pour ces considérations que je partage et que l’on a toujours plaisir à lire et relire. Je dirais même qu’il faut les lire et relire, sous différentes formes. Cela demande effectivement une vraie implication et du travail de mettre le cap dans la bonne direction, et la « formation » à travers lectures et réflexions est indispensable, mais quelle joie.
    Merci pour ton blog.
    A très bientôt,
    Sylvie

    1. Bonjour Sylvie, je suis ravi de te lire !

      Je suis heureux que mon blog te plaise et te serve. Je te souhaite une belle éclosion de ton projet en 2013, quel que soit le lieu du monde où cela se fera :)

      A très bientôt et merci pour ton commentaire !