Inspiration pour ceux qui reportent…
Bonjour à tous,
Après un weekend épique et riche de rencontres et de sens, j’ai une soudaine envie d’aborder un sujet qui concerne à peu près tous les entrepreneurs que je rencontre… et même ceux qui n’entreprennent pas d’ailleurs. En cette période de fêtes, revenons sur un sentiment que nous partageons tous, à un moment de notre vie, cette terrible pensée :
« Je ferai ce que j’ai vraiment envie de faire, quand j’aurai le matériel, le temps ou les fonds nécessaires »
Evidemment, qui ne connait pas cet état d’esprit à propos de sujets divers ? Moi et ceux que j’accompagne le connaissons bien. Et puisque je crois que nous ne sommes pas seuls dans ce cas, je vous propose, à travers l’Art que je connais le mieux pour le pratiquer depuis l’enfance – la musique – de prendre conscience que lorsqu’on aime vraiment ce que l’on fait, on a déjà tout le nécessaire.
Vous verrez à travers quelques vidéos glanées sur le web (peu importe le style, au-delà des goûts de chacun, l’important dans cet article, c’est la démarche), que quand quelque chose nous pousse, les moyens sont accessoires justement. Ce qui fait toute la différence, c’est la pulsion qui vous amène à réaliser ce que vous voulez véritablement accomplir. Et cela, que vous soyez à la tête d’une entreprise qui fonctionne déjà très bien ou que vous soyez sur le point de vous lancer.
Voici Bobby McFerrin. Vous verrez qu’il n’a besoin de rien d’autre que de sa voix pour réaliser des performances extraordinaires :
Je vous propose maintenant de regarder un extrait de spectacle de la troupe de danse et de percussions Stomp. Ils jouent uniquement avec du matériel de récupération :
Voici ensuite une groupe de chant a capella, le groupe Pentatonix . Le storyboard du film ? Une caméra en plan fixe et un canapé :
Et au final, pour vous prouver que je test les concepts que j’expose ici, voici… mes blanches mains et une bassine (oui je sais je prends des risques quant au sérieux de ma démarche, mais après tout, c’est MON image non ?).
J’ai fait toute une série de vidéos (très modestement) sur le thème de la « percu’récup » il y a quelques temps, pour montrer à ceux qui hésitent à faire ce qu’ils aiment qu’on peut y parvenir avec très peu de choses. Et je suis heureux aujourd’hui de vous le proposer comme métaphore du métier. Après tout, je vous expose cette vidéo dans le cadre de mon travail sur la stratégie de communication d’entreprise non ?
Pour conclure, je ne saurais que vous encourager à réfléchir à ce que vous avez toujours reporté, par crainte de rater ou de sacrifier votre réputation. Les produits ou services que vous gardez dans un carton en les appelant « private joke ». Le discours que vous rêvez de tenir à vos partenaires ou vos clients. L’action de communication un peu folle mais qui vous tente depuis toujours.
D’autres ont fait des merveilles (je ne parle pas de bassine là) avec peu. Leur plus grand mérite aura été de s’autoriser à penser, puis de se lancer :).
Je vous souhaite à tous de passer de très bonnes fêtes !
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Chouette cet article pour finir l’année et regonfler les batteries (c’est le cas de le dire :-)) !
Le coup de la bassine mérite une place de choix au sein d’une formation (bon, j’avoue que je m’en sers autrement et que je n’ai pas les compétences d’une percussionniste).
En tous les cas, ces vidéos qui agrémentent vos écrits Yves sont inspirantes et méritent de la réflexion. Ah non, que dis-je…. de l’ACTION.
Bonnes fêtes de fin d’année également !
Merci Patricia pour votre énergie !
J’ai bel et bien dans l’idée de mettre de la percussion dans mes formations mais ceci sera une autre histoire qui prendra corps en son temps.
J’en profite pour vous remercier ici de votre commentaire sur le deuxième épisode de l’émission de radio. Je n’ai pas eu l’occasion de choisir mes mots pour vous répondre jusque là, mais je vous remercie de vous être prêtée au jeu du débat.
A très bientôt et bonne fin d’année :)
J’adore !
Merci pour cette belle démonstration. Tu as du talent, beaucoup de talent, pas seulement en tant que joueur de bassine ;-)
Je te souhaite de beaux instants pour cette fin d’année.
Merci Annie :)
Il me semble que notre discussion sur la timidité de ce weekend a travaillé en tâche de fond. Donc merci pour ton message et pour ce bel échange ;)
Je te souhaite de très bonnes fêtes !
Merci !!!!!!
Avec plaisir Dominique !!!!!! ;-)
Bonjour et un grand merci pour cet article très motivant.
Moi même avant de me lancer je me suis dit que je pourrais faire ce dont j’ai en tête si et seulement si j’ai plus d’argent, si et seulement si, j’ai une équipe avec moi, si et seulement si etc… Et puis j’ai compris aussi que garder pour soi sa passion ainsi que la maîtrise de son « don » n’était pas très fun… donc, j’ai décidé de m’amuser à créer mon site internet à mon image. Musique, graphisme… comme une toile qui représenterait mon travail sur le fond comme sur la forme que je puisse également montrer la différence et surtout partager un autre angle de vue… Mais à la base, je me suis juste amusée à rassembler mes idées, mon style… et puis j’ai décidé de le mettre en ligne, même sans achat de nom de domaine pour le moment… même si il faut apporter de nouvelles modifications… conclusion? de nouveaux clients sont passés par mon site pour me contacter…
Merci encore pour cet article très inspirant!
Bien à vous
Laurianne
Merci à vous Laurianne pour ce partage d’expérience enthousiasmant :)
A très bientôt :)
Yves, bravo !
Je suis toujours attristée par ceux qui me disent : « si je pouvais, je ferais comme toi ». J’ai envie de leur dire : « Mais faites ! » Pas forcément comme moi, d’ailleurs, mais comme vous le sentez. Les carcans qu’on se met soi-même sont les plus dur à briser, mais après, quelle liberté !
Merci Morgane !
Je trouve très positif qu’on vous dise ce genre de choses finalement. Cela signifie peut être que votre démarche fait son chemin dans leur tête, qu’ils se laissent progressivement imprégner par l’idée d’agir eux aussi…
Cela dit, je vous rejoins sur la difficulté à dépasser ses barrières personnelles et sur la fierté et le sentiment de liberté que cela procure :)
Bonnes fêtes à vous et à bientôt !
Merci Yves
toujours bon de réfléchir au fait qu’on se pose nous même nos limites… et qu’on peut déjà faire tant de choses avec peu… pour peu qu’on ait réussi à identifier et vaincre la peur ;-)
bonnes fêtes à toi aussi…
Bonjour Marie,
Je suis ravi de te lire ! Il y a une chose que j’ai oublié de préciser dans cet article et que j’ai plutôt évoqué dans l’émission de radio du précédent article : le deuxième vrai défi, c’est de ne pas perdre cette énergie, cette passion et cette créativité quand les disponibilités deviennent plus conséquentes…
Je crois que je vais le rajouter dans le texte :) Merci pour cette inspiration et pour ton commentaire Marie !
Bon Yves, à chaque fois que je viens sur ton site, je trouve des réponses aux questions que je me pose, des signes, des synchronicités ? Travailles-tu en collaboration avec les anges ?
En laissant un commentaire sur l’émission de radio je me disais « c’est beau de prôner l’écoute de soi mais toi tu as envie de faire de la musique depuis longtemps mais tu trouves toujours des excuses pour ne pas te lancer » puis je cliques et je lis cet article ^^
Donc oui on a toujours des excuses, on est souvent dans l’attente quand à nos rêves, moi la première je suis la spécialiste. D’autant que j’ai remarqué que lorsqu’on s’écoute et décide de mettre des moyens en oeuvre, la vie nous ouvre ses portes et nous fait des cadeaux fantastiques (des bonnes rencontres, des opportunités etc..) Donc mince qu’est ce qu’on attend pour VIVRE et VIBRER ?!!
Bises :)
PS: j’avais déjà regardé tes vidéos de percu et j’avais trouvé cela très chouette. Sans chichi, spontané et naturel.
Merci pour tes messages Alexandra !
Comme dit la poétesse, « y’a pas de hasard » ! Je suis heureux que tu trouves des éléments aussi proches de tes questions du moment :)
Oui, vivons, vibrons et soyons heureux de travailler, faisons-le avec détermination, bienveillance et ingéniosité, passion et générosité !
C’est si bon de faire ce que l’on aime :) Et on tellement meilleurs quand on le fait !
Passe de bonnes fêtes :)
Mon petit frère a découvert son instrument de prédilection – la batterie – à l’âge de 12 ans. Il s’entraînait en collant des tonnes de scotch à déménagement sur des boites de conserves qu’il liait sur des bouts de bois récupérés dans le garage. Il s’est fabriqué aussi des cymbales avec celles qui étaient déjà pourries par un autre joueur. Il n’a eu sa première batterie que vers 14 ans je crois. Aujourd’hui, il est vraiment très bon, et il a une batterie de pro pour autant, il ne roule pas sur l’or et il ne décolle pas mais ce qui compte le plus pour lui, c’est que sur scène ou ailleurs, quand il joue de la batterie, c’est le moment où il se sent vraiment en vie ! Comme quoi…
Bonjour Plume et merci pour ce partage.
C’est amusant, ma première « batterie » devait ressembler à ça aussi :) les batteurs sont des aventuriers, ça me paraît clair !
Ça aiguise l’imagination en tout cas.
Je lui souhaite de réussir à se sentir en vie le plus souvent possible. C’est sûrement ça le véritable succès.
Merci encore et à bientôt :)
Excellent!!!
C’est vrai qu’elle sonne bien cette curver!!!
Ce que m’inspire votre article et cette discussion c’est que quand on fait ce qu’on aime on se sens bien, je veux dire même si la vie n’est pas rose tous les jours et qu’on a des problèmes, mais ce temps de la créations, c’est une bulle qui permet de « surnager » malgré tout.
Quand on est passionné par ce que l’on fait on est tellement absorbé que les reste s’efface et reste le sentiment positif de « j’ai donné vie à quelques chose », la création se raccroche vraiment à la vie, l’envie, l’energie…
Pour moi créer est la meilleure façon de combattre le néant.
Bon WE à vous.
Merci pour ce bien joli point de vue Julie :) C’est un plaisir de vous lire !